… j’ai fini par trouver quelque chose qui répond finalement assez bien à toutes ces interrogations.
Comme nous l’avons vu lors de notre précédente capsule, une plaie d’Egypte reste particulièrement difficile à expliquer, même pour des chercheurs qui considèrent “l’Eternel” comme un chef de bande « extra-terrestre » (extérieur à la terre) ayant pris le contrôle de la planète Terre à la faveur d’une technologie avancée.
Cette plaie, c’est l’extermination des premiers-nés d’Egypte (indifféremment humains et bétail). En effet, si la plupart des miracles peuvent s’expliquer au moyen de technologies que nous maîtrisons plus ou moins de nos jours, comment expliquer une sélection si précise.
“Exode 12.12- Cette nuit-là, je passerai dans le pays d’Égypte, et je frapperai tous les premiers-nés du pays d’Égypte, depuis les hommes jusqu’aux animaux, et j’exercerai des jugements contre tous les dieux de l’Égypte. Je suis l’Éternel.”
Quelle technologie pourrait permettre une pareille folie ? Quelle arme pourrait provoquer la mort de tous les premiers-nés d’une maison, laissant indemnes tous les autres occupants ? Si, comme on l’imagine, nous arrivons aux temps de la Révélation, c’est forcément que cette technologie n’est pas très éloignée de la nôtre… à force de retourner la question dans tous les sens, j’ai fini par trouver quelque chose qui répond finalement assez bien à toutes ces interrogations.
Cette technologie, curieusement on la retrouve aussi dans le dossier ovni : c’est l’implant. Sa correspondance dans le monde réel, c’est la puce RFID dont l’implantation tend à se généraliser à travers le monde.
De nos jours, le bétail et les animaux domestiques sont massivement “implantés”. Notons au passage que quelque soit l’animal, l’implant utilisé est toujours le même. Seules les données diffèrent. Ces données sont – pour la traçabilité de l’animal – le nom et l’adresse du propriétaire ; le nom ou numéro d’immatriculation de l’animal ; le lieu et la date de naissance, les dates de vaccination ; un historique médical. Chez l’homme, il y a d’autres données, mais aussi des données communes. Concrètement, pour identifier l’animal que l’on souhaite prélever, il suffit de faire passer un lecteur de puce au-dessus du troupeau. Le lecteur reconnaîtra à distance le numéro de série de la puce implantée (plus le lecteur et la puce sont puissants plus la distance peut être grande), et entrera alors en communication avec celle-ci. C’est ainsi que la puce transmettra les données individuelles de l’animal. Il est très important de comprendre que la puce est un émetteur mais aussi un récepteur. C’est-à-dire qu’elle peut non seulement transmettre les données à distance mais aussi recevoir des ordres ou de nouvelles informations.
Bon mais quel rapport avec l’Egypte antique ? Eh bien tout simplement : ce qui est en bas est comme ce qui est en haut. Même besoin, même logique, même méthode.
Pour un peuple « extraterrestre » en mission de colonisation d’une planète, l’organisation et la gestion devaient être une préoccupation de tous les jours. Il devait être primordial de connaître avec précision l’état des stocks et ce dans quelque domaine d’activité que ce soit, de pouvoir cataloguer, répertorier, et tracer en temps réel le cheptel ou tout autre bien de consommation, comme nous le faisons nous même de nos jours.
Or, la meilleure façon connue à ce jour pour y parvenir, c’est justement la micro puce RFID. Cette technologie que nous connaissons n’est d’ailleurs qu’une pâle copie de celle qui devait être entre les mains de Yahvé.
Ainsi, pour optimiser la gestion de leur territoire, les Dieux extraterrestres avaient forcément “implanté” toutes les créatures leur appartenant, “depuis les hommes jusqu’aux animaux”.
Le fait que “l’Eternel” dans cette condamnation à mort des premiers-nés ne fasse aucune différence entre les humains et le bétail est un détail important qui conforte l’hypothèse de l’implant. L’humanité, en tant que propriété des “dieux” était traitée exactement de la même façon que tout autre animal. N’oublions pas les paroles de l’Eternel : Esaïe 19.25 “(…) Bénis soient l’Égypte, mon peuple”.
En outre, on sait l’importance du droit d’aînesse à cette époque, droit qui conférait la majorité des biens d’une famille au premier-né. Cette donnée devait donc nécessairement figurer sur la puce d’identification implantée sur toutes les créatures d’Egypte. Il faut savoir que les hommes vivaient souvent avec leurs animaux sous le même toit. Ainsi, si les puces étaient encodées de la même façon et si l’activation de la plaie jouait sur l’encodage “premier-né”, il était impossible aux drones de Yahvé qui allaient survoler le territoire de l’Egypte de faire la distinction entre les premiers-nés humains des premiers-nés du bétail d’une maison. C’est pourquoi l’Eternel le précise : “depuis les hommes jusqu’aux animaux”. On aurait pu penser que la mort des premiers-nés humains aurait largement suffit à faire fléchir pharaon. Et l’Eternel devait le penser lui aussi et il n’aurait certainement pas ajouté les premiers-nés des animaux à sa condamnation s’il n’y avait pas été obligé techniquement.
De nombreuses questions désormais se posent que nous étudierons ensemble la prochaine fois. En passant en revue ces questions, et en nous appuyant aussi sur ce que nous savons des implants extraterrestres étudiés dans le dossier ovni, nous constaterons que cette thèse farfelue de prime abord de l’implantation de toutes les créatures de l’Egypte ancienne prendra finalement de la consistance.
Prochain rendez-vous le 7 Mai 2017
Roch Saüquere
Photo : Encarna