Il est temps d’aborder ensemble quelques notions de ce que pourrait être cette boucle dans laquelle le système solaire est enfermé et dont les black-out seraient, tous les 1000 ans, le point culminant. Nous sommes beaucoup à avoir constaté une accélération du temps
Dans la précédente capsule, nous avons abordé la question de la réincarnation. Nous avons vu comment ce mécanisme, accepté par le plus grand nombre comme un processus naturel d’évolution, pouvait -à force de répétition- aboutir à la dislocation progressive de la majorité des âmes.
Nous avons vu aussi que les “âmes” les plus évoluées spirituellement échappaient en partie à cette Loi, et bénéficiaient d’une plus grande indépendance vis-à-vis de ce piège infernal conçu par les faux dieux. Nous avons vu en effet que ces êtres d’exception pouvaient repousser presqu’indéfiniment leur retour sur la terre, et choisir finalement le meilleur moment, pour revêtir l’armure des chevaliers christiques, et servir au mieux l’accomplissement de la Parole. Question : comment parviennent-ils à s’affranchir d’une Loi si contraignante ?
Cette émancipation repose en fait sur le lien indéfectible qui existe entre l’âme et l’ADN. Un lien qui perdure par-delà la mort et qui fait que le “Commando d’élite” arrivant dans le royaume des morts demeure “lié” à son corps, tant que celui-ci subsiste dans toute sa cohérence. Ne vous êtes-vous jamais interrogé sur l’incorruptibilité de l’enveloppe charnelle des grands saints, et de tous ceux qui ont consacré leur vie à la spiritualité dans le don de soi ? Cette inaltérabilité est atteinte lorsque l’âme, le “Pirate” ou “Commando d’élite” infiltré dans un corps, a pris le dessus sur le “virus humain” (l’ego). L’ADN est alors imprégné par la seule énergie christique que l’âme irradie. C’est ainsi que le corps se pare d’une armure de lumière, et acquiert des facultés nouvelles, comme le don d’ubiquité ou encore la résistance à certaines lois physiques de la matrice.
Dans certains cas, nous l’avons vu (capsule 14), l’intervention de vaisseaux (ovnis) pirates infiltrés dans notre dimension permet de modifier génétiquement des embryons qui seront alors en mesure d’accueillir des âmes qui échapperont au programme d’effacement des mémoires. Notez au passage que l’ordre de mise à mort de tous les nouveaux nés, au moment de la naissance de Moïse et de celle de Jésus, est en fait une métaphore de ce “formatage” qui frappe toute l’humanité dès la naissance. Quoi qu’il en soit, ces corps génétiquement modifiés, échappant aussi à la présence du Virus humain (l’ego), sont conçus pour ne pas subir certaines lois physiques, comme la gravité (sous certaines conditions), ou la putréfaction après la mort. Dans le cas des plus grands “Avatars”, le corps ADN transformé en corps de lumière entre dans la dimension christique originelle, et quitte la matrice sans connaître la mort. Le Saint Suaire est le dernier témoin de ce phénomène rare.
Alors pourquoi est-il préférable que le corps soit conservé dans sa cohérence le plus longtemps possible ? Comme nous l’avons vu plus haut, l’ADN et l’âme ont tissé un lien indéfectible. Ainsi, tant que les corps sont préservés, les âmes qui leur sont liées ne sont pas soumises au cycle des réincarnations. Il s’agit d’une petite faille de la matrice. Mais que cela soit clair : la désagrégation rapide d’un corps après la mort, qu’elle soit volontaire ou accidentelle, ne nuit pas à la destinée de l’âme. Une âme en voie d’éveil trouvera toujours son chemin vers la lumière. Ce que nous mettons en évidence ici, c’est que la préservation du corps dans sa cohérence va permettre à l’âme de mieux résister au processus de réincarnation, et donc de mieux choisir sa future incarnation. A contrario, cette préservation n’empêchera jamais une âme de se réincarner si elle décide que le moment est venu de le faire. Les anciens égyptiens et beaucoup d’autres peuples à travers le monde connaissaient parfaitement ces lois. Par la momification, ils espéraient retarder l’échéance d’une réincarnation tant redoutée. Le rituel d’embaumement, honneur réservé aux héros des peuples, comme on vient de le voir à l’occasion du décès d’Hugo Chavez, et que l’on retrouve avec des variantes dans de nombreux pays, est hérité de ce savoir malheureusement perdu pour le commun des mortels. Les Illuminati détiennent encore ce secret. C’est pourquoi ils se font bâtir des mausolées et s’offrent les services d’embaumeurs. Ils espèrent rester plus longtemps dans le royaume des morts où leur pouvoir est décuplé… En outre, ces âmes noires gardent une influence sur les affaires des vivants grâce à ce lien qui les rattache à leur corps.
Dans la précédente capsule, je vous ai parlé de résistance. Il est important de garder l’espoir dont nous sommes tous porteurs. Si nous réussissons à empêcher le prochain black-out, le système solaire tout entier retournera à sa dimension originelle. Une fois libérés, les commandos d’élites (âmes) qui se sont volontairement infiltrés dans ce monde pour le sauver, retourneront au divin et à l’immortalité. En revanche, les faux dieux, ces créatures extraterrestres en rupture de ban, savent très bien qu’ils n’auront pas d’échappatoire, pas de refuge. En dehors de cette matrice, l’éradication les attend… C’est pourquoi ils utilisent tous les moyens à leur disposition pour rester dans la boucle spatiotemporelle qu’ils ont créée, et qui les protège.
Il est temps d’aborder ensemble quelques notions de ce que pourrait être cette boucle dans laquelle le système solaire est enfermé et dont les black-out seraient, tous les 1000 ans, le point culminant. Nous sommes beaucoup à avoir constaté une accélération du temps. Ce phénomène d’accélération temporelle est lié à une surpression causée par les rayonnements cosmiques qui sont capturés par la matrice artificielle créée par les faux dieux (voir capsule HS). Cette surpression agit en fait sur l’espace-temps. De fait si le temps accélère, l’espace lui se contracte. Voici un exemple révélateur de ce mécanisme : nous sommes passés de l’image de télévision noir et blanc des années 60 aux images couleurs des années 70. Puis nous sommes passés de la qualité des cassettes vidéo qui paraissait parfaite, à celle du DVD, qui apportait une qualité incomparable. En fait, l’augmentation de la finesse d’image ne fait que suivre un processus matriciel. Du DVD, nous sommes ensuite passés au blu-ray, avec une définition d’image dont on disait il y a peu encore qu’elle était insurclassable. Pourtant, déjà apparaît un nouveau procédé : le High Frame Rate, avec une prise de vue de 48 images par seconde au lieu des 24 images seconde utilisées depuis le début du cinéma. Le premier film a avoir utilisé ce procédé est Bilbo le Hobbit.
Cette fois la qualité colle tellement à la compression réelle de la matrice qu’on a parfois l’impression de traverser le réel en contemplant l’image, et l’action devient si fluide que le spectateur a paradoxalement l’impression qu’elle se fige. Ce peut-il que les blu-ray nous paraissent dépassés dans 10 ou 15 ans ? Il n’y a pas de limite. Notre perception du temps et de la matière évoluant sous l’effet de cette contraction cosmique, il est nécessaire d’adapter nos technologies car les images d’hier (appartenant à un autre temps), demain nous apparaîtront grossières et polluées par un grain que nous ne percevions pas quelques années plus tôt. C’est comme si ces images du passé s’éloignaient de nous avec le temps… Avez-vous essayé de regarder une vieille cassette vidéo sur un vieux poste ? L’image vous paraîtra si médiocre que vous vous demanderez comment vous avez pu vous en satisfaire à l’époque. Ainsi, notre perception du réel change et s’affine à mesure que la structure de la matrice approche de son point de rupture. L’augmentation de la pression s’accompagne d’une accélération ondulaire qui bouleverse la perception du temps et la perception visuelle, toutes deux étroitement liées aux ondes lumineuses.
Si ce phénomène de contraction allait à son terme, la matrice finirait par imploser. Tout retournerait alors à sa dimension originelle. L’ADN retrouverait sa véritable densité, et l’âme humaine, le commando d’élite infiltré en chacun d’entre nous, recouvrirait sa véritable nature. De son côté, l’ego, ce programme conçu par les faux dieux pour contrôler le virus humain, serait aussitôt dissous dans le néant. Pour empêcher la destruction de leur monde les faux dieux sont donc obligés de déclencher les black-out. Après quoi un nouvel ordre mondial de 1000 ans est instauré. L’humanité confiée aux nouveaux gardiens du troupeau peut repartir pour un nouveau tour de cette boucle spatio-temporelle.
Il faut se représenter la boucle spatio-temporelle dans laquelle nous sommes enfermés non comme un cercle parfait, mais comme un “Anneau” de Möbius, avec son point de jonction, qui est aussi un point de rupture. Cet anneau est donc composé d’une zone plane de stabilité relative suivie d’une zone qui tend vers la verticalité. Cette phase de torsion-contraction s’étend sur plusieurs décennies. C’est une période de turbulences et d’instabilité où tout bascule. C’est là qu’interviennent les black-out. Savez-vous que l’anneau ruban de Möbius a été mathématiquement décrit en 1858 ? Nous ne sommes pas loin de l’année 1860 (date rencontrée dans notre article sur les voyageurs du temps). Il est amusant de voir à quoi le ruban ou anneau de Möbius est associé dans les œuvres de fiction. Dans la série Necroscope, de Brian Lumley, Harry Keogh, le héros, visualise fréquemment le ruban de Möbius afin d’ouvrir une porte pour naviguer dans l’espace-temps. Dans Piège sur Zarkass (1958), de Stéfan Wul, trois bandes de Möbius imbriquées ensemble donnent accès au sub-espace.
Möbius est le titre original du double épisode final de la saison 8 de Stargate SG-1. Le titre français : Retour vers le futur. Dans le film d’animation Le ruban de Möbius de Glenn Chaika, il est aussi question d’une porte des étoiles permettant de voyager dans l’espace-temps. Tout ceci reflète la réalité d’une connaissance collective enfouie dans les mémoires. L’anneau de Möbius est une façon de voir cette matrice, cette dimension intermédiaire dans laquelle nous (le commando d’élite) nous sommes introduits clandestinement. L’anneau de Möbius est une variété de spirales dérivée de la spirale originelle. Elle conserve la structure tourbillonnaire, à l’origine de toute chose, mais sa nature circulaire donne naissance à un monde figé cristallisé dans la matière. Faut-il s’étonner si la future bibliothèque-nationale du Kazakhstan à Astana (à Satan) représente un ruban de Möbius ? Astana, c’est la possible capitale du prochain Nouvel Ordre Mondial (Voir TS n°58). Je vous rappelle que la bibliothèque est le symbole de la connaissance.
À l’image de John Connor dans Terminator Renaissance, je vous dirais encore : si vous lisez cette capsule, vous êtes la résistance.
A suivre… Rendez-vous très prochainement
Roch Saüquere
Foto: IMAGINA Fleeting | 🌀Il tempo…fugge