NOUVELLE révélation sur la Matrice Question de mémoire…par Roch Saüquere (Capsule 27)

Nous avons vu dans la précédente capsule que les Commandos d’élite (les âmes) ont traversés un même processus de duplication de conscience que les héros du film Inception. Ce processus peut conduire les personnages jusqu’aux “limbes”, un niveau de conscience très profond, avec effacement de mémoire, qui correspond assez bien au monde dans lequel nous vivons. Nous allons nous arrêter un instant sur cette notion de mémoire qui est l’un des ferments essentiels de la personnalité de chaque individu. En réalité il n’y a pas effacement de mémoire. Il ne peut y en avoir. à l’image de ce qui se fait de plus en plus avec les ordinateurs individuels dont les programmes et les fichiers sont externalisés dans des serveurs, l’essentiel de la mémoire de chaque être humain n’est pas stockée physiquement à l’intérieur de son corps, que ce soit dans son cerveau, dans son cœur, dans son estomac, dans tout autre organe, ou dans quelconques cellules de son sang, qui ferait office de disque dur. En réalité chaque individu ne stocke en lui qu’une infime partie de sa mémoire : sa mémoire réactive, mémoire à court terme, qui lui permet d’assurer ses fonctions vitales instinctives ; et sa “mémoire cache” ou “mémoire résiduelle” qui constitue l’essentiel de sa mémoire interne, et qui est en fait consacrée à la gestion tentaculaire, en temps réelle, de ses connections aux réseaux.

En d’autres termes cette mémoire résiduelle a en charge la bonne circulation des données que l’individu échange en permanence avec ce que nous pourrions appeler de gigantesques serveurs dédiés. Car l’humanité est connectée à un triple réseau correspondant aux trois “agents” qui composent la personnalité d’un être humain : l’ADN, l’ego, et la Conscience Christique.

La mémoire de chaque individu dont dépendent toutes ses “fonctions” acquises, comportement social, talents, compétences, etc., est immatérielle. Elle est donc externalisée sous forme d’onde.

Chaque individu fonctionne de façon autonome, en circuit fermé, tout en étant cependant constamment relié à tous les autres individus. Ce lien s’établit d’une part via une sorte d’“intranet” que nous appelons génériquement l’ADN. C’est à travers cet intranet que l’individu va en effet pouvoir échanger, mettre à jour, déposer, et puiser instantanément dans un serveur commun certaines fonctions comportementales primaires comme l’instinct de survie par exemple, mais aussi d’autres facultés qu’il ne pensait pas posséder avant que de devoir les utiliser, notamment dans des situations extrêmes. Ceci est la première connexion qui appartient au domaine de ce que nous avons choisi d’appeler de façon approximative : l’ADN, et qui donne accès à la mémoire “primordiale” de l’être.

D’autre part, l’individu est relié à un réseau secondaire, sorte d’“extranet” (voir notre dossier sur les Ondes Scalaires p.49) composé d’une infinité de serveurs. Le “virus humain”, l’ego, accède à l’extranet par une fréquence d’accès qui lui est originellement réservée. Cet extranet lui permet d’ouvrir un compte attitré où il pourra déposer et récupérer ses mémoires individuelles encodées, stockées sur un serveur confidentiel qui lui est spécifiquement attribué pour toute la durée de sa vie. Ce compte mémoire personnel sera protégé contre les attaques extérieures et les tentatives d’infiltration de la part d’autres “virus humains”, sauf à détenir certaines facultés. En outre l’extranet met des serveurs de partage à disposition de tous. Toutes sortes de programmations, de conditionnements, de mises à jour et de potentiels acquis par la communauté humaine sont déposés ici en accès libre, téléchargeable automatiquement ; ce que l’on appelle la mémoire collective.

Ainsi, les troubles de la mémoire qui surviennent avec l’âge, ou bien à la suite de chocs violents à la tête, ou encore après un AVC, proviennent du fait que l’individu ne parvient plus à se connecter correctement à l’extranet. Ce n’est pas sa mémoire qui est défaillante ou détruite. La mémoire en tant que données acquises individuellement ou collectivement demeure intacte sur la longueur d’onde qui lui est originellement réservée. Elle est simplement devenue momentanément ou définitivement, partiellement ou totalement inaccessible, du fait de la dégénérescence neuronale ou de la destruction de telle ou telle zone du cerveau qui a entraîné une détérioration du signal émis sur la fréquence d’accès personnelle de l’individu. Cette détérioration a pour effet de brouiller la lecture du compte mémoire dont l’individu est originellement titulaire. Nous en avons pour preuve que bien souvent l’accès aux serveurs de partage, non protégés, de l’extranet reste possible. Ainsi, dans les cas de dégénérescence, l’accès à toutes les mémoires sera aléatoirement dégradé, tandis que dans les cas d’accidents entrainant destruction, l’individu conservera parfois certaines mémoires placées dans des serveurs communs (langage, histoire, comportement, etc.) alors qu’il éprouvera les pires difficultés pour accéder à sa mémoire personnelle protégée.  Le cerveau n’étant qu’un simple décodeur émetteur récepteur, il suffirait de trouver le moyen de restaurer la bonne fréquence neuronale pour que l’amnésique, ou même l’aphasique, puisse retrouver subitement l’accès à tout son potentiel de mémoire. Voici ce que nous pouvions dire sur la seconde connexion, l’extranet réservé à l’ego, le virus humain, dont le siège au sein de l’ADN a été intégré dès le commencement, lors de la création génétique de l’animal humain. L’Ego étant le symbiote de l’homme, la partie d’eux-mêmes que les faux dieux sont parvenus à greffer à l’ADN parachevant l’œuvre d’abomination que représente la création de la Matrice artificielle.

À la lumière de tout ce qui vient d’être dit, nous comprenons que l’intelligence et la personnalité de tout un chacun dépend en fait de l’art que nous avons de disposer et d’agencer à notre façon toutes ces données externes qui composent la “mémoire”. C’est un art qui dépend lui-même du dosage de ce cocktail particulier que constitue la cohabitation des trois agents présents en chacun de nous : l’ADN, l’ego, et le Pirate.

L’être humain dispose enfin d’une troisième connexion donnant accès à un réseau pirate qui est l’exclusivité du Commando d’élite (Conscience Christique).

Ce réseau permet, aux sept flammes bleues qui sont les émanations du Commando d’élite projetées dans la Matrice artificielle, de communiquer entre elles bien qu’étant séparées sur des plans de densités différentes. C’est ainsi que la Conscience Christique peut s’enrichir de ses nombreuses expériences simultanées en vue d’accomplir sa mission. Le “Pirate” n’est donc pas physiquement infiltré à l’intérieur de l’homme. Comment pourrait-il en être autrement, vu sa nature christique. Il n’est ni logé dans le cerveau, ni dans le cœur, ni dans l’estomac, ni dans aucun autre organe, ou dans quelconques cellules du sang humain. La Conscience Christique s’est infiltrée dans chaque individu via l’ADN par hameçonnage au moment du premier souffle. Les Commandos d’élite utilisent en effet certaines propriétés de l’ADN modifié par les faux dieux, pour s’approprier un point d’ancrage. Ce point d’ancrage fonctionne comme une balise qui émet et reçoit sur une fréquence spécifique un signal continu. Ce signal émis sur sept différentes modulations d’amplitude est comme un fil invisible qui relie les sept émanations de chaque Conscience Christique.

Malheureusement les faux dieux brouillent les communications de ce réseau pirate. En outre, comme nous l’avons déjà vu, les faux dieux ont pris soin de déphaser chaque balise lors du formatage de l’animal humain qui survient dès la naissance de celui-ci. Ce brouillage et le formatage ont pour effet d’emprisonner la flamme bleue, pour contaminer le signal à la manière d’un virus qui peut remonter jusqu’à la source. C’est là le vrai danger qui menace les “Pirates”, et c’est là que réside le vrai courage. Quoi qu’il en soit, il ne faut surtout pas perdre de vue que tout ce qui arrive sur un plan, influence tous les autres plans. Ainsi la mission peut sembler désespérée sur un plan, et être pourtant en passe d’être accomplie grâce aux succès survenus sur un autre. Elle pourrait même être déjà accomplie sur un plan sans que nous ne puissions encore en ressentir les effets sur notre plan, et sans que nous soyons en mesure ni d’en comprendre la cause, ni de voir venir cet accomplissement. Nous développerons cette notion prochainement.

Je m’en voudrais de terminer cette capsule, sans vous parler de cette affaire extraordinaire survenue le 10 décembre 2014, lors de l’hommage rendu à Nelson Mandela. La planète entière a pu voir en effet un homme gesticuler quatre heures durant aux côtés des plus grands de ce monde. Le lendemain, les sourds, très en colère, ont fait savoir que le langage des signes de ce faux interprète leur était totalement étranger et ne correspondait à rien de connu. Delphin Hlungwane, expert officiel de la Fédération des sourds d’Afrique du Sud, a déclaré que l’homme “n’avait jamais travaillé auparavant pour aucune chaîne de télévision. Nous ne savons rien de lui, ni son nom, il est apparu à l’occasion de cet événement, on ne sait pas comment. »  On a alors pensé à un imposteur qui se serait glissé jusqu’à la tribune officielle. Puis l’homme a été identifié. En fait, Mr Thamsanqa Jantjie était réellement mandaté pour ce travail, bien que s’étant déjà fait remarqué lors d’une prestation similaire, en 2012, pour le centenaire de l’ANC. Ses mouvements illisibles avaient alors indigné les sourds Sud-africains qui avaient déjà porté plainte contre lui. Dès lors comment expliquer sa présence à la cérémonie ? Les journalistes venus l’interroger ont expliqué qu’il était schizophrène. “C’était vraiment très… je ne sais pas comment l’expliquer… a-t-il déclaré un peu perdu devant les caméras. J’ai vu soudain des anges descendre du ciel dans le stade. Quand ce genre de problème arrive je ne sais jamais comment je vais réagir. Parfois je réagis violemment… Parfois je vois des êtres qui me poursuivent… Vous savez, vous entendez des voix que vous ne comprenez pas… et vous finissez par perdre le contrôle de vous-même.”

Extraordinaire aventure que celle de cet homme qui allait engager devant les caméras du monde entier un monologue paroxystique dans un langage improvisé. Improvisé ? Peut-être devrions-nous envisager une autre version de l’histoire. Et si un évènement exceptionnel, digne d’un film de science-fiction, s’était produit à l’insu de tous ? Un bug de la matrice comme pour nous signifier : “Oui, vous êtes bien dans un rêve, réveillez-vous !”

Et si les anges étaient bien descendus dans le stade ce jour-là, un jour de pluie torrentielle liée à l’émotion de la foule.

Et si nous avions assisté à un premier “Contact” planétaire de la part d’entités qui auraient pris possession du corps de cet homme à la manière de Mr Smith dans le film Matrix, pour s’adresser en direct à toute l’humanité ? Le moment aurait été idéalement choisi. Cette gestuelle apparemment anarchique ne pourrait-elle pas receler un sens caché destiné à être “vu” par tous les peuples de la Terre ? Une folle hypothèse qui fait rêver et qui mériterait en tout cas d’être sérieusement vérifiée. “Je voudrais dire à tous ceux que j’ai offensé : pardonnez-moi. Mais ce que j’ai fait, je l’ai fait parce que je le devais. J’ai fait quelque chose que je pensais important pour mon pays.” Mr Thamsanqa Jantjie a finalement été admis dans un hôpital psychiatrique…

En attendant n’oubliez pas. Vous qui lisez ces lignes, vous êtes plus que jamais la résistance…

A suivre… Rendez-vous le 28 Octobre prochain

Roch Saüquere

Roch Saüquere
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Image: IMAGINA Fleeting | Atmosphere by Thomas Dodd

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