NOUVELLE révélation sur la Matrice. Reprenons depuis le début. La place de l’homme dans le règne animal (Capsule 23) – Roch Saüquere

Il ressort en tout cas de ces deux visions majeures que les extraterrestres passent généralement aux yeux des ufologues pour des êtres bienveillants, puisqu’ils pourraient nous rayer de la carte, et qu’ils n’en font rien. Les lecteurs savent que nous ne sommes pas tout à fait d’accord avec cet argument.

L’ufologie est actuellement partagée entre deux grands courants de pensée, deux visions dominantes de la relation extraterrestre/humanité, qui tiennent compte de l’absence de contact officiel, en dépit d’une présence régulièrement constatée.

Il y a les tenants de la vision dite “laboratoire” du monde. Selon cette théorie, l’humanité est un sujet d’étude et d’expériences pour des extraterrestres scientifiquement hyper évolués. Cela pourrait expliquer les enlèvements, les expériences génétiques sur les abductés, les femmes enceintes, etc.

Les ufologues qui adhèrent à cette thèse envisagent la possibilité que certains de ces Aliens soient confrontés à un problème génétique, et qu’ils recherchent sur une planète relativement jeune les matériaux génétiques qui leur permettront de régénérer leur espèce. D’autres poursuivent d’autres expériences  dans leur coin, dans ce vaste laboratoire que représente la Terre, en respectant la même règle universelle : les expérimentateurs ne doivent pas interférer avec le milieu afin de ne pas fausser le résultat des expérimentations.

L’autre vision est celle dite du “zoo”. Selon cette théorie, les extraterrestres visitent la Terre comme on visiterait une réserve animalière rare, dont il faut préserver le milieu à tout prix. Cela explique également les enlèvements, les expériences génétiques, etc. Dans cette vision écologique, le contact massif est interdit car il correspondrait à la profanation d’un sanctuaire. Cette vision a également ses variantes. Certains ufologues vont pencher vers la thèse d’extraterrestres jardiniers ; d’autres préféreront parler d’élevage, d’autres encore d’extraterrestres éducateurs, etc.

Notez que ces deux visions n’excluent pas la possibilité d’une complicité humaine limitée, établie de longue date pour favoriser le travail du laborantin ou du gardien du zoo.

Ces deux visions dominantes permettent aussi de comprendre pourquoi le message des extraterrestres à l’attention des contactés consiste principalement à le mettre en garde contre le nucléaire et autre danger émanant de toute pollution. Est-ce par amour pour notre espèce, ou tout simplement dans leur intérêt ? Je vous laisse deviner. Il ressort en tout cas de ces deux visions majeures que les extraterrestres passent généralement aux yeux des ufologues pour des êtres bienveillants, puisqu’ils pourraient nous rayer de la carte, et qu’ils n’en font rien. Les lecteurs savent que nous ne sommes pas tout à fait d’accord avec cet argument.

En effet, une poule dans un poulailler pourrait affirmer la même chose à propos du fermier qui l’élève pour ses œufs. Pourtant le fermier tue la poule à la fin, sans état d’âme, tout comme le chercheur se débarrasse des spécimens étudiés à la fin de l’expérience. Un prédateur quant à lui aura tout intérêt de se contenter de modestes prélèvements en phase avec ses besoins, s’il veut continuer de se nourrir de sa proie. Finalement nous n’avons pas la moindre idée de la manière dont nous pouvons servir de nourriture aux aliens. Enfin les tablettes sumériennes, les livres anciens de l’Inde comme le Mahābhārata et le Ramayana, l’Iliade, l’Odyssée d’Homère, l’Ancien Testament, tous ces textes sont remplis d’exemples de cruauté et de mépris affiché à l’égard des hommes. Le récit du déluge étant sur ce point un sommet dans le genre, puisqu’il relate ni plus ni moins la froide extermination du genre humain, femmes, enfants, vieillards, perpétré par une bande de cloportes qui se font passer pour des dieux.

Les thèses “Laboratoire” et “Zoo” sont des visions relativement “Star Wars” du rapport humain/extraterrestre, avec en toile de fond une confédération intergalactique répondant à des principes et des lois communément acceptés par un système finalement très proche de l’ordre mondiale que nous sommes en train de concevoir nous-mêmes. Quelles que soient les variantes de ces deux approches, un point commun revient toujours : l’humanité est soit une fleur délicate qu’il faut protéger comme la rose du Petit Prince (version jardinier) ; soit un sauveur génétique éminemment précieux (version laboratoire), et au pire une curiosité rare que l’on se doit de préserver (version Zoo). Invariablement l’humanité est donc au centre de toutes les attentions, pour ne pas dire qu’elle est le centre de l’univers. Analysées ainsi, ces deux visions sont donc très flatteuses pour notre ego.

Depuis plusieurs années, sans écarter ces deux hypothèses, TOP SECRET a étudié d’autres pistes, notamment la très controversée théorie des ovnis nazis dont nous avons démontré à plusieurs reprises qu’elle n’était pas dénuée d’intérêt, malgré les cris d’orfraie d’une catégorie importante d’ufologues. Ces derniers craignent d’une part l’opération de débunking visant à nier implicitement l’existence des extraterrestres, et d’autre part l’amalgame, par les autorités et le public, du milieu ufologique avec les groupuscules néo-nazis. Il est vrai que pour écarter quelqu’un du chemin de la vérité, toutes les accusations sont bonnes. Dommage que dans leur exclusive, ils ne s’en rendent pas compte. C’est ainsi que de censurés, ces ufologues deviennent à leur tour des censeurs, tout en croyant servir la Raison, et la bonne cause. Cette levée de bouclier est d’autant plus regrettable que la réalité éventuelle des ovnis nazis n’implique absolument pas la négation d’un phénomène ovni d’origine “étrangère”. Les deux peuvent cohabiter.

Or, à cause de ce tabou, les black programs allemands, devenus black program américains après la guerre, pourraient bien être une des principales pierres d’achoppement de l’ufologie, expliquant sa stagnation morbide depuis bientôt 66 ans. Dommage, car une étude sérieuse, objective et dépassionnée de ce dossier pourrait ouvrir de nouvelles perspectives que les ufologues les plus compétents se sont malheureusement interdites. Les incroyables vagues d’ovnis “tôle et boulons” des années 50, qui sont allées diminuant jusqu’à disparaître au début des années 90, pourraient trouver ici une explication…

Malheureusement il est des vérités qui terrorisent même les chercheurs les plus sincères. C’est ainsi que les secrets perdurent et que ces technologies demeurent entre les mains d’une caste d’initiés.

Bref, non seulement TOP SECRET a voulu donner la parole à tous les chercheurs, sur tous les sujets, en toute liberté, mais nous avons également élaboré et développé une troisième vision, celle des faux-dieux en rupture de ban, sorte de démons ayant créé l’homme et instauré les grandes religions. En la matière, nous avons progressivement brisé de nombreux tabous au cours des 11 années écoulées. Il suffit de se souvenir des mentalités à l’époque des débuts de TOP SECRET quand la juxtaposition des seuls mots “secret et ovni” faisait craindre pour sa vie. Rendez-vous compte du chemin incroyable parcouru par nous tous.

Cette troisième voie, la voie des “colonisateurs” dénonce une cohorte d’extraterrestres ayant fait basculer le système solaire dans une dimension “intermédiaire”. Ces êtres ont donné naissance à un monde dense et temporel entièrement voué à la satisfaction de leur plaisir et de leurs turpitudes.

À notre niveau, pour coloniser le système solaire, nous utilisons des sondes. C’est la meilleure façon d’explorer un milieu hostile dans lequel nous ne pourrions pas vivre. Si demain nous en avions la possibilité, l’ultime développement de la conquête spatiale nous amènerait à concevoir et à envoyer dans l’espace des cyborgs conçus à notre image.

C’est exactement pareil pour ces faux dieux qui sont contraints de vivre à l’intérieur des planètes creuses, et de se déplacer d’une planète à l’autre dans des caissons isolants que nous appelons les ovnis et qui n’ont rien à voir avec les “tôles et boulons” cités plus haut. Pour occuper les planètes selon leur besoin, ces êtres ont dépassé le stade rudimentaire des rovers et des cyborgs. Comme ils détiennent le crack-code de cette matrice, il leur a été facile de concevoir des robots entièrement basés sur la nanotechnologie organique. Cette nanotechnologie, ce sont les briques d’ADN, que l’on trouve en abondance sur Terre (et sans doute dans tout le système solaire) et qui offrent de grandes possibilités d’adaptation. Ils ont donc créé des robots à partir d’échantillons d’ADN existants à l’état naturel sur les planètes à coloniser.

Ils ont programmés (conditionnés) ces robots dans leur intérêt propre, et ils les ont affectés à des missions d’occupation de territoires (entre autres). C’est en tout cas conforme à ce que rapporte la Bible : “L’Eternel Dieu prit l’homme, et le plaça dans le jardin d’Eden, pour le cultiver et pour le garder.” Genèse 2 :15. Le robot, doté d’une programmation complexe, dispose d’une connexion à distance (récepteur) qui permet aux faux dieux de communiquer avec lui, de l’influencer et de le guider (expérience chamanique, voix qu’entendent les prophètes, inspirations d’ordre artistique ou scientifique, etc.). Ce dispositif sur lequel le robot n’a aucun contrôle sert aussi en temps réel à mettre à jour sa programmation, en fonction des besoins. Sous certaines conditions, les faux dieux pourront même “habiter” temporairement un robot, façon Avatar ou plus exactement “Passé virtuel”.

Si le robot n’a pas été génétiquement préparé pour servir d’hôte, cela se termine pour lui, dans le meilleur des cas, par une maladie dégénérative avec la mort à la clef. Et si l’“occupation” se prolonge, c’est la combustion spontanée.

Le fin du fin est de maintenir le robot biologique dans l’ignorance de sa condition optimisant ainsi son efficacité et poussant jusqu’au fanatisme sa vénération à l’égard de ses créateurs. Constatant sa “situation unique” dans le règne animal, le robot biologique va imaginer qu’il est “un être supérieur”, un “élu”, alors qu’en réalité, il est juste le contraire : une abomination créé par des démons. Selon les besoins des faux dieux, sur Terre, le robot biologique pourra bâtir des civilisations, et développer toutes sortes de technologies. Vous l’avez reconnu, ce robot biologique, c’est le virus humain, conçu à partir de l’ADN et doté d’une programmation : l’ego. Ainsi, dans cette troisième voie, l’humanité ne joue plus les premiers rôles. L’homme est juste un pion qu’on utilise et qu’on jette. Il ne fait même pas partie du “Plan”. Et ce, jusqu’à ce que s’infiltre dans cette matrice diabolique, le commando d’élite que les spiritualistes appellent l’âme, venu sauver la Terre.

N’oubliez pas : dans ce monde trop rapide, trop abrutissant, trop formaté ; de par les questions que nous soulevons, aussi folles puissent-elles paraître aux autres, nous sommes la résistance au processus de déshumanisation amorcé. N’oubliez pas : vous êtes la résistance.

A suivre… Rendez-vous le 21 Juillet prochain

Roch Saüquere

 

Foto: IMAGINA Fleeting | Adam Bird

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